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#1 29-04-2014 18:02:54
ombre chinoise...
L'important, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue quand on les poursuit...
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#2 29-04-2014 22:24:39
- Rob
- Membre
- Lieu:Limoges
- Date d'inscription::15-10-2013
- Messages: 884
Re: ombre chinoise...
Chouette.
Non, ce n’est pas mon diagnostic de détermination de l’espèce, hein... C’est mon opinion sur la photo.
Le sujet a la netteté que requiert l’ombre chinoise, le reste des bordures se floute à souhait selon les plans.
Bref : chouette.
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#3 30-04-2014 08:47:42
Re: ombre chinoise...
Je suis plus partagé. 
je trouve qu'il y a quelques éléments parasites comme la petite branche à droite. Et je pense que j'aurai un peu limité la masse noire à gauche en resserrant légèrement le cadre.
L'effet d'ombre est sympa et la silhouette se détache vraiment bien.:)
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#4 30-04-2014 09:15:17
Re: ombre chinoise...
merci à vous,
pas faux Eric, pour la branche, je vais voir çà ...
L'important, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue quand on les poursuit...
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#6 30-04-2014 20:56:26
- Jean-Pierre Touzin
- Membre actif de l'association
- Date d'inscription::09-03-2009
- Messages: 2,259
Re: ombre chinoise...
L'ombre chinoise a ceci d'intéressant qu'elle transpose - fait basculer - immédiatement le réel dans sa représentation, dans sa thêatralité ... L'image proposée aurait ainsi pu suggérer la délicatesse d'une nature fantasmée et figurée par le subtil équilibre de l'oiseau sur sa branche dont le chant mélodieux accompagne de sa résonance harmonique le secret ordonnancement de la nature, tout en préservant son mystère (!!!) ...
Mais la nature reste indifférente et ingrate face au miroir qu'on lui tend ; seule pa peinture permet de faire s'approcher cette liturgie du miracle de la nature vers le sublime d'un accord étiré (!) ... Le photographe, lui, n'a bien souvent que le temps d'appuyer à l'aveugle ...
Ainsi, sur l'image proposée, cet l'équilibre n'est-il qu'imparfaitement rendu ; la patte masquée nous empêche d'apprécier la subtilité de la complicité de l'oiseau avec le règne végétal, de même que les frontaisons viennent comme assourdir et museler son chant qui n'est plus que brouillon symphonique ... Cruelle nature ...
Reste que l'image proposée est de celle qu'on entend plus qu'on ne voit, ce qui est déjà plutôt pas mal ... un petit rien qui nous change des planches ornithologiques habituelles ...
Nous partageons tous l'illusion radicale d'envisager le monde ... alors que c'est le monde qui nous pense, honey.
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